mardi 30 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 31 octobre 2007

Ce mercredi 31 octobre, Elie Semoun est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Hier, il a sorti le DVD "Elie annonce Semoun, la suite de la suite...", où l'on retrouve de nouvelles petites annonces, entre autres avec Franck Dubosc, Manu Payet et Axelle Laffont.


Article "Elie annonce Semoun, la suite de la suite" tiré du site Ados.fr :

4 ans… l’attente aura été longue pour les fans impatients que nous sommes, mais elle aura porté ses fruits : 55 nouvelles perles, 2h10 de programme et du rire à gogo sur ce nouveau DVD des désormais légendaires « Petites Annonces ».
Revoilà donc la joyeuse clique des personnages cultissimes créés par Elie Semoun et Franck Dubosc (auquels s'est joint Manu Payet). Mickeline biensûr, mais aussi Toufik qui a pris "un peu" de poids, Kevina devenue actrice pour des films amateurs à caractère "particulier" ou Mr Patel qui a trouvé la technique pour enfin sortir avec une blonde à forte poitrine. Evidemment toute une ribambelle de nouveaux personnages encore plus barrés que les anciens font leur apparition sur ce nouveau volet. De l'alibitologue qui vend ses excuses farfelues aux maris infidèles, à l'équipe des cracheurs de noyaux d'olive qui veulent que leur sport soit reconnu sport olympique (celle là vaut son pesant de cacahuètes!!), on s'éclate des loufoqueries made in Semoun.
Et le ravissement ne s’arrête pas là, car sous ces personnages fantasques se cache le fleuron de la scène comique française : Elie Semoun biensûr, mais aussi Franck Dubosc, Arthur, Alexandre Astier, Manu Payet, Bérénice Bejo, Alain Chabat, Lorant Deutsch, Julie Ferrier, Jonathan Lambert, Axelle Laffont…et même Dany Brillant ou Jérôme Le Banner!! Mais ça n'est pas fini! Un super making-off nous montre l'envers du décor de ces nouvelles "Petites Annonces", suivi d'un bêtisier qui, dans la lignée du DVD, vous fera mourir de rire. Disponible dans toutes les bonnes boutiques le 30 octobre : « en vous remerciant ! »

T'empêches tout le monde de dormir : 30 octobre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 30 octobre à 23h10 :

- Arthur, à l'occasion de la sortie en DVD de son spectacle « Arhur en vrai »
- Ariel Wizman et Vincent Elbaz, qui sont au théâtre avec la pièce "Good Canary"
- Jean-Pierre Coffe, qui publie la Bande Dessinée "Les recettes inratables de Jean-Pierre Coffe"
- Les danseuses du Crazy Horse
- Des fans du groupe Tokio Hotel
- Véronique Robert, dont le fils de 15 ans a été violé à Dubaï et pour lequel les autorités émiriennes ont tout fait pour dénaturer le procès des ses trois agresseurs.

L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


On ne pouvait pas le rater : 30 octobre 2007

Ce mardi 30 octobre, Augustin Legrand est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. L'animateur des Don Quichotte repart à l'assaut des puissants. Dans son programme : une caravane pour l'Afrique et... un parti politique !
Article "Oh lé lé, Oh la la, solidarité, avec les mal-logés" tiré du site Humanité.fr :

Un mouvement unitaire se met en place entre associations de mal-logés et de sans-logis. Mardi soir, 180 familles ont dormi rue de la Banque, à Paris.
Le campement installé depuis quinze jours devant le « ministère de la crise du logement », rue de la Banque, à Paris (2e), tient bon. Mardi soir, plusieurs personnalités (Jacques Gail- lot, Joey Starr, Romane Bohringer, Enki Bilal), des associations (LDH, CDSL, Don Quichotte, le mouvement Jeudi noir, le Comité action logement) et des syndicats (Confédération paysanne, Solidaires, SUD PTT) sont venus déposer des tentes à leur nom, pour soutenir les familles qui, depuis le 3 octobre, se relaient pour dormir à même le trottoir, mais aussi afin de marquer leur opposition à la répression policière dont ont été victimes les « campeurs » la semaine dernière. La LCR, représentée par Olivier Besancenot, les Verts et le Parti communiste étaient également présents au milieu d’une foule de quelques centaines de militants du droit au logement.
« Il faut que les gens qui dirigent notre État nous entendent. On existe. On n’est pas des fantômes quand même. On est décidés. On ne partira pas tant qu’on n’aura pas un logement », affirme une mère de famille qui a quitté la chambre d’hôtel dans laquelle elle vivait avec ses deux enfants pour venir dormir depuis quinze jours sur le trottoir de la rue de la Banque. Comme elle, les quelque 280 familles qui participent au campement depuis le 3 octobre n’en peuvent plus et font pression pour la construction d’un mouvement commun des mal-logés et des sans-logis.
« Aujourd’hui, l’exaspération, la colère des familles, des étudiants, des SDF et des sans-logis est à son comble. C’est vrai que tous poussent à la construction d’un mouvement unitaire qui permette de déboucher sur un résultat concret », affirme Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole du DAL. Et le même de préciser n’être « pas contre l’idée d’un village des sans-logis qui rassemblerait l’ensemble des personnes en mal de logement ». « On est sur les rangs pour un mouvement concerté », reconnaît de son côté Jean-Baptiste Legrand, frère d’Augustin, avec qui il anime les Don Quichotte. Là encore, l’idée d’un « grand village de la misère » qui pourrait être installé « à Paris, ou ailleurs, par exemple à la Défense, l’un des quartiers les plus riches de France », est évoquée avec intérêt. À suivre…

dimanche 28 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 29 octobre 2007

Ce lundi 29 octobre, Bernard Laporte est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Il fait un premier point sur son arrivée au poste de Secrétaire d'Etat chargé des Sports, une semaine après la fin de la Coupe du Monde de Rugby.Article "Bernard Laporte et son nouveau métier" du 27/10/07 tiré du site LeMonde.fr :

"La première est toujours agréable. Les suivantes peuvent être un peu plus difficiles." En quelques mots à l'adresse de Bernard Laporte lors de sa première participation au conseil des ministres, jeudi 25 octobre, Nicolas Sarkozy a résumé les débuts au poste de secrétaire d'Etat aux sports de l'ancien entraîneur du XV de France.
L'ex-rugbyman a parcouru la première semaine de sa vie politique avec un sourire un peu crispé, entre étonnement et plaisir. Après une visite au premier ministre, François Fillon, préséance oblige, il a été accueilli, lundi 22 octobre, au ministère de la santé, de la jeunesse et des sports, par Roselyne Bachelot, qui a fait démonstration d'amabilités et de bises. Le matin, sur Europe 1, la ministre avait lâché : "C'est un homme qui n'a pas d'expérience politique, c'est un type intelligent (...), il va apprendre." Quelques jours plus tôt, Mme Bachelot avait vertement repris son futur secrétaire d'Etat qui venait de déclarer que si ce "nouveau métier" ne lui plaisait pas, il arrêterait "tout simplement".
"TAMPONS"
A l'Assemblée nationale, le secrétaire d'Etat a passé sans encombre les séances de question au gouvernement, mardi 23 et mercredi 24 octobre. À Philippe Folliot, un député (Nouveau Centre) qui l'interrogeait sur le bilan de la Coupe du monde, M. Laporte, qui ne participait pas à son organisation, a répondu que l'événement "restera surtout un succès populaire et économique". Jeudi, il a visité le Creps de Poitiers, puis il a assisté à une séance de boxe éducative coordonnée par Mahyar Monshipour. Vendredi, il était dans l'Eure, pour une réunion d'information sur la sécurité dans les rallyes.
L'ancien sélectionneur des Bleus a également eu droit à quelques "tampons". "Bernard Laporte n'a rien à faire au gouvernement", a estimé, lundi, Stéphane Le Foll, l'un des porte-parole du Parti socialiste, pointant "la confusion entre le sport, les affaires et la politique". Enfin, quelques jours après la publication, dans L'Equipe Magazine, d'informations sur de possibles irrégularités fiscales de M. Laporte, les services fiscaux ont déposé plainte pour violation du secret fiscal, a indiqué vendredi une porte-parole du ministère du Budget.

vendredi 26 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 26 octobre 2007

Ce vendredi 26 octobre, Hanane est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. Cette française, accusée d'aide à l'immigration au Royaume-Uni, a été acquittée jeudi dernier.

Article "Le calvaire de deux Françaises accusées d'aide à l'immigration" tiré du site RTL.fr :

Elles partaient se détendre pour un week-end mais dès leur arrivée sur le sol anglais, Hanane et Sarah se retrouvent arrêtées par les policiers britanniques. Deux clandestins chinois s'étaient installés dans le coffre de leur voiture. Les policiers les accusent d'aide à l'immigration illégale et les emprisonnent. Elles resteront 4 mois en détention. Pour la première fois, Hanane Cherigui raconte son calvaire au micro de Marc-Olivier Fogiel.
Dans leur coffre, deux clandestins chinois
Hanane Cherigui rêvait d'une dernière virée entre copines avant son mariage. Mais le 2 juin dernier, leur escapade londonienne vire au cauchemar. Lorsqu'elles débarquent du ferry, la voiture d'Hanane et de Samia est fouillée. Quand ils ouvrent le coffre, les policiers découvrent deux clandestins chinois. "J'ai été sur le choc. Sur le coup, je n'ai pas compris. On a immédiatement pensé à de la drogue et quand on nous a expliqué, on s'est dit qu'ils allaient se rendre compte qu'ils étaient entrés à notre insu" explique Hanane Cherigui à Marc-Olivier Fogiel sur RTL. Les policiers ne les croient pas et les accusent d'être des passeurs. Elles sont accusées "d'aide à l'immigration illégale".
"Là-bas, on est présumés coupables"
Les deux jeunes femmes sont alors incarcérées sans connaître la date de leur procès. "C'était très dur car on n'a pas l'occasion de s'exprimer avant le procès. On doit prouver son innocence là-bas, on est présumés coupables" raconte Hanane. La détention préventive durera finalement 151 jours dans une cellule sans fenêtre. "On pensait qu'on allait être libérées rapidement mais par la suite, l'angoisse s'est installée avec le stress, les larmes. Il n'y a pas un jour où je n'ai pas versé de larmes" se souvient la jeune femme.
Les deux jeunes femmes tiennent le coup grâce au soutien de leurs familles. Hanane reçoit chaque jour la visite de son fiancé, qui s'est mis en disponibilité pour la soutenir. Encore très marquée par cette mésaventure, Hanane est pressée de reprendre une vie normale. Dès lundi, elle devrait reprendre son poste d'assistante de gestion et s'atteler à réorganiser son mariage qui aurait dû se dérouler en juin dernier. Mais avant ça, Hanane veut "retourner en Angleterre" pour récupérer tous ses papiers et soutenir une autre française encore incarcérée. "J'espère que ça va devenir un mauvais souvenir" conclut la jeune femme sur RTL.

jeudi 25 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 25 octobre 2007

Ce jeudi 25 octobre, Patrick Desbois est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Le 20 septembre dernier, il a publié "Porteurs de mémoires" aux éditions Michel Lafon.



Présentation de l'éditeur :

Le père Patrick Desbois est secrétaire de la conférence des évêques pour les relations avec les Juifs, ancien aide personnel du cardinal Lustiger, conseiller du cardinal-archevêque de Lyon et conseiller du Vatican pour la religion juive. Petit-fils d'un déporté du camp de Rawa Ruska, il est parti sur les traces des Juifs de l'Est, assassiné par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale dans cette Shoah qu'il nomme la « Shoah par balles ».
Les Einsatzgruppen (unités mobiles nazies) étaient des brigades d'Allemands SS et policiers. Ces unités mobiles nazies étaient chargées de tuer les Juifs. L'assassinat systématique des Juifs dans l'Union Soviétique occupée était le premier volet du plan d'extermination de l'intégralité des Juifs européens. Pendant l'invasion de l'Union Soviétique en juin 1941, les unités mobiles nazies ont suivi l'armée allemande à mesure qu'elle s'enfonçait dans le territoire soviétique. Ces opérations visaient à tuer le maximum de personnes. Partout où les unités mobiles sont passées, on a abattu tous les hommes, femmes, enfants juifs, puis on les a enterrés dans des fosses communes. Les exécutions massives de Juifs en Ukraine ont eu lieu au grand jour. Les Juifs pouvaient être abattus dans des fossés creusés à cet effet, ou dans des greniers à grain, dans des puits d'irrigation, dans des abattoirs, ou poussés du haut d'une falaise. L'ampleur de ces exécutions massives est considérable.
Le père Desbois est engagé dans un travail de longue haleine pour identifier et expertiser tous les sites d'extermination des Juifs par les unités mobiles nazies en Ukraine. Il localise et vérifie systématiquement l'emplacement de ces sites, collecte les preuves balistiques, et enregistre des témoignages vidéo des ukrainiens qui vivent toujours dans les villages alentour.

mercredi 24 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 24 octobre 2007

Ce mercredi 24 octobre, François Marcantoni est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Le gangster de 87 ans vient nous narrer sa vie sulfureuse le jour de la sortie du film "Le deuxième souffle", un long métrage qui explique la vie dans le milieu des gangsters.

Article "Souvenirs de gangster (non repenti)" tiré du site RTL.fr :

" Non, je ne regrette rien". Figure du grand banditisme dans les années 1960, François Marcantoni est satisfait de son palmarès (100 millions de francs de l'époque). Alors que sort au cinéma un film sur le milieu des gangsters ("Le deuxième souffle"), François Marcantoni s'est confié au micro de Marc-Olivier Fogiel sur RTL.
"Le grand banditisme, c'était autre chose !"
Il aurait pu servir de modèle pour le film Le deuxième souffle qui sort ce mercredi dans les salles. François Marcantoni est ce qu'on appelle "une figure du milieu" : dans les années 50 à 70, il a été un des plus grands gangsters français. Et à 87 ans, pas de repentance mais plutôt de la déception, celle de voir que le milieu tel qu'il a connu n'existe plus. "Le grand banditisme, c'était autre chose que ce qui se passe maintenant. Il y avait de l'honneur, une parole. On ne s'attaquait pas aux enfants, aux gens âgés. Les banques, les braquages étaient monnaie courant à l'époque mais c'est tout" raconte-t-il d'un ton tranquille à Marc-Olivier Fogiel sur RTL.
François Marcantoni ou l'apologie d'un certain banditisme, celui des braqueurs de banques qui ne tuaient personne. "Entre quatre yeux, je peux vous le dire. Je n'ai pas de sang sur les mains, sauf quand je me coupe" lâche-t-il. François Marcantoni résume son code d'honneur en quelques mots, "c'est d'être un homme, de le rester, d'avoir une parole et un honneur".
"Ma vie a été comme ça, je l'ai assumé"
Rangé des voitures depuis vingt ans, il ne regrette rien de son ancienne vie. "On ne peut pas dire qu'on est fier. Je dis que je n'ai pas eu le choix. Ma vie a été comme ça, je l'ai assumé. Il y a eu du risque et je l'ai assumé donc rien n'est gratuit" raconte celui qui revendique un butin total de 100 millions de francs. Pourtant, il dit ne pas être "riche aujourd'hui" : "J'ai fait comme Balzac : les dettes anciennes, je ne les paie pas et les nouvelles, je les laisse vieillir" s'amuse-t-il.
Pour Marcantoni, c'était un peu la seule façon de se sortir de la pauvreté. "Je préfère le champagne à la limonade" reconnaît celui qui préfère aussi les people aux anonymes. A la grande époque, il devient l'ami d'Alain Delon et de Jean-Paul Belmondo. "Ils étaient là quand j'ai eu des difficultés avec la police. Ils se sont manifestés et il ne faut pas oublier Charles Aznavour qui est aussi mon ami intime. Quand j'étais au placard, la première lettre que j'ai reçue était la sienne" se souvient-il.
Sa carrière a été marquée aussi par 13 ans de prison, mais "en plusieurs fois". Mais cet épisode ne valorise pas son palmarès et n'entre pas dans son fameux code d'honneur. "Pour moi, la prison n'est pas une fierté" lâche-t-il.

lundi 22 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 23 octobre 2007

Ce mardi 23 octobre, Thierry Lhermitte est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Il est actuellement sur la scène du théâtre La Madeleine, tous les soirs à 19 heures, dans la pièce "Biographie sans Antoinette".
Article "Thierry Lhermitte retrouve la scène" du 16/10/07 tiré du site LeFigaro.fr :
Au côté de Sylvie Testud, il interprète « Biographie sans Antoinette », une comédie de Max Frisch, à la Madeleine.
IL EST attablé, sandwich à la main, manuscrit devant les yeux, repassant sa leçon comme un prof relierait son cours. Thierry Lhermitte retrouve le chemin du théâtre après dix-neuf ans d'absence. De quoi inquiéter cet anxieux au calme méditerranéen. Ce navigateur qui a fait le tour du monde sur un voilier sait de quoi les tempêtes sont faites. Lui, il est apparemment calme, mais en fait il n'est pas très rassuré.
« Le théâtre, c'est difficile », reconnaît-il avec simplicité. D'autant plus que pour ses retrouvailles, il a choisi une pièce où on ne l'attendait pas. Le bronzé va du côté de Max Frisch, auteur contemporain de Brecht questionnant les aléas de l'identité. Il jouera (à partir du 23 octobre) Biographie sans Antoinette, mis en scène par Hans-Peter Cloos. Une pièce interprétée il y a un peu moins de dix ans par François Berléand et Emmanuelle Devos sous le titre Biographie : un jeu, que Thierry Lhermitte avait aimée. « C'est un de mes plus grands souvenirs, explique le comédien. Aussi quand Jean-Marc Ghanassia qui est à l'origine du projet m'a invité à revenir au théâtre, je lui ai parlé de cette pièce. »
La suite, c'est ce spectacle à la Madeleine avec Sylvie Testud (Antoinette), Éric Prat (le metteur en scène). Si c'était à refaire pourrait être le sous-titre de cette comédie exposant la vie d'un homme, Kürmann, qui a la possibilité de rejouer sa partie. Kürmann pense que sa rencontre avec Antoinette est le point noir de son existence. Il veut à tout prix éviter cette rencontre. Mais sous le regard du meneur de jeu, il ne peut s'empêcher de rejouer inlassablement les scènes de sa vie. Tout se répète.
« En travaillant, j'ai découvert le comique des situations, reprend le comédien. Kürmann, mon personnage, est finalement risible. En voulant justifier ses actes, en transformant les circonstances en destinée, l'auteur s'amuse beaucoup. En Kürmann, il y a de l'insecte qui se débat dans sa cage. Kürmann est finalement très humain, c'est ce que j'aime en lui. Il nous ressemble avec ses faiblesses, ses ridicules. C'est un personnage de chair et de sang, une aubaine pour un comédien. »
Lève-tôt, couche-tôt
À l'instar de son personnage, aimerait-il rejouer sa vie ? « Pas du tout, ce n'est pas mon fantasme. J'ai réalisé mes rêves : accomplir un tour du monde en voilier avec ma famille, puis m'installer à la montagne toute une année, et skier du matin au soir. Aujourd'hui, j'ai abandonné la voile, ma petite dernière n'a pas le pied marin, et je monte à cheval tous les matins. » C'est un lève-tôt. « Vers six heures du matin, j'ouvre un oeil, ma journée commence. » Lève-tôt, couche-tôt, Thierry Lhermitte ne cache pas son plaisir de jouer à 19 heures, un horaire qui convient à ce comédien qu'on n'imaginait pas aussi maîtrisé. « Jeune, j'ai connu la fièvre du samedi soir, comme tout le monde, mais à l'arrivée des enfants, par la force de choses, j'ai tourné la page. » Est-il aussi équilibré que son teint frais et ses yeux bleus le laissent prévoir ou ne serait-il pas plutôt un angoissé guetté par l'insomnie ? Il sourit, n'en dira pas plus, mais qu'on se rassure, Thierry n'a rien d'un ermite.
Théâtre de la Madeleine, 19 heures. Tél. : 01 42 65 07 09.

On ne pouvait pas le rater : 22 octobre 2007

Ce lundi 22 octobre, Vincent Clerc est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. L'ailier du XV de France nous raconte ses souvenirs du Mondial de rugby, où la France a fini quatrième.
Article "Mondial: la France rate sa sortie face à l'Argentine" tiré du site Challenges.fr :

Le XV de France a raté sa sortie de la Coupe du monde en s'inclinant 34-10 devant l'Argentine dans le match pour la troisième place, illuminé par le brio des Pumas.
Eux qui n'avaient jamais été à pareille fête se sont imposés par cinq essais, dont deux de Felipe Contepomi, également auteur de trois transformations et une pénalité, les trois autres étant inscrits par Omar Hasan, Federico Martin Aramburu et Ignacio Corleto.
La France n'a répliqué que par une pénalité de Jean-Baptiste Elissalde et un essai tardif de Clément Poitrenaud transformé par Lionel Beauxis.
Cette rencontre était la revanche du match d'ouverture remporté par les Pumas 17-12, le 7 septembre. Le résultat avait condamné la France à aller battre les All Blacks en quart de finale à Cardiff avant de s'incliner en demi-finale devant l'Angleterre.
Les Pumas se sont depuis inclinés en demi-finale face à l'Afrique du Sud.
Ce contexte a pesé sur toute la rencontre, marquée de trois cartons jaunes infligés au capitaine français Raphaël Ibanez et aux Argentins Rimas Alvarez Kairelis et Juan Manuel Leguizamon.
Il a gâché le dernier match de l'entraîneur Bernard Laporte, d'une génération de joueurs, Raphaël Ibanez et Christophe Dominici, qui étaient sur la pelouse, et Pieter de Villiers, Fabien Pelous et, peut-être, Serge Betsen restés sur le banc ou dans les tribunes.
La France quitte ainsi la Coupe du monde après avoir fait moins bien ses deux places de finaliste en 1987 et 1999, moins bien que sa troisième place de 1995 et mieux tout de même que sa défaite en quart de finale en 1991.
Que dire du match sinon que dans un premier temps, les Français ont tenté de jouer, d'alterner coups de pied et attaques au large, de faire vivre le ballon en restant debout et en se le passant dans le dos de la défense.
Tous leurs efforts ont été perdus par des excès de fébrilité et des fautes. Un en-avant de passe entre Harinordoquy et Rougerie a privé Elissalde du premier essai à la 12e minute. Les avants ont ensuite échoué sur un groupé-pénétrant.
CALVAIRE
C'est finalement Elissalde qui a ouvert le score d'une pénalité bien placée à la 18e minute. Les Pumas sont revenus dans le camp des Bleus et Felipe Contepomi a égalisé.
Un essai a été refusé à Yannick Nyanga pour en-avant. Les avants français ont tenté de châtier les Pumas.
Le match approchait de la demi-heure de jeu et ils dominaient lorsque, sur une rare série enchaînée des Argentins, Felipe Contepomi a marqué le premier essai du match et l'a transformé lui-même.
Les Bleus étaient dans le rouge. Sur le renvoi, Hernandez a envoyé une tentative de drop sur le poteau mais les avants argentins ont récupéré le ballon et Omar Hassan a marqué un deuxième essai validé par l'arbitre vidéo.
A 17-3, les Français étaient au bord de la crise de nerfs et le match menaçait d'exploser. Un combat de force pure s'est engagé entre les deux packs.
Les Français ont joué trois pénalités en force. Des coups de poing ont volé et la mi-temps se faisait attendre.
Pour éviter le pire, l'arbitre a infligé un carton jaune à Alvarez Kairelis et à Ibanez.
Les esprits s'étaient un peu calmés à la reprise mais les Français avaient deux essais transformés à remonter.
Ce sont les Argentins qui ont marqué, pourtant, grâce à leur ailier Martin Aramburu à la 53e puis à l'arrière Corleto à la 64e alors qu'ils étaient réduits à 14, et ont porté le score à 27-3.
L'essai marqué par la France par Clément Poitrenaud et transformé par Lionel Beauxis n'était que sursaut. Contepomi a porté la détresse des Bleus à son comble d'un cinquième essai.
Agustin Pichot a été élu homme du match. La cérémonie de remise des médailles a été un calvaire pour les Français.

dimanche 21 octobre 2007

T'empêches tout le monde de dormir : 23 octobre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 1 octobre à 22h55 :

- Marc Lavoine et Gérard Darmon, pour la sortie en salles du film « Le cœur des hommes 2 »
- Bernard Henri-Levy, pour son dernier livre « Ce grand cadavre à la renverse »
- David et Valérie Douillet, pour leur livre « Notre famille recomposée »
- Adriana Karembeu, qui vient de lancer l'opération « Picala » destinée à collecter des fonds pour l'achat de 80 VTT au profit de collégiennes de la région de Ouarzazate
- Barbara Shultz, pour la pièce de théâtre « En toute confiance » à la Comédie des Champs Elysées
- Isabelle Balkany, 1er adjoint au maire de Levallois.

L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


vendredi 19 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 19 octobre 2007

Ce vendredi 19 octobre, Isabelle Balkany est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. Elle vient ce matin pour parler du divorce de son amie Cécilia Sarkozy, jusqu'alors première Dame de France.
Article "Malgré l'angoisse, Cécilia est résolue et sereine" tiré du site RTL.fr :

Vendredi matin, Isabelle Balkany était l'invitée de "On ne pouvait pas la rater" sur RTL. La meilleure amie de Cécilia Sarkozy est revenue sur la séparation du couple présidentiel. Face à Marc-Olivier Fogiel, elle révèle les détails de ce divorce médiatique et les projets de Cécilia. "Elle pourrait travailler dans la communication" raconte Isabelle Balkany sur RTL.
"Cécilia avait besoin d'exprimer sa vérité"
Cela fait plus de vingt-cinq ans qu'elles sont amies et c'est presque naturellement qu'Isabelle Balkany relaie dans les médias la pensée de Cécilia Sarkozy au lendemain de l'officialisation de son divorce. Vendredi matin, Isabelle Balkany était face à Marc-Olivier Fogiel sur RTL notamment pour réagir à l'interview de Cécilia dans "L'Est républicain" alors même que le communiqué de l'ex-couple présidentiel annonçait qu'aucune déclaration ne se serait faite : "C'est le paradoxe. Cécilia ne voulait pas répondre aux journalistes mais elle avait besoin d'exprimer sa vérité" explique Isabelle Balkany sur RTL.
Quelle est alors "la" vérité de Cécilia Sarkozy ? Tout d'abord qu'elle n'est plus amoureuse (mais "pas d'un coup", "ça se détricote au fil des années") mais aussi qu'elle ne voulait pas de ce rôle de first lady. "Ce rôle était tellement mal défini qu'il y avait polémique quand elle faisait quelque chose mais aussi quand elle ne faisait rien. Ca ne correspondait pas à sa personnalité. Tout le monde sait maintenant qu'elle préfère les jeans aux longues robes" raconte Isabelle Balkany.
Nicolas Sarkozy "n'arrivait pas à envoyer le communiqué"
Nicolas Sarkozy l'aurait pourtant bien vu à cette place de première dame. C'est parce que le président espérait jusqu'au bout que deux communiqués ont été envoyés par l'Elysée, le second affirmant qu'il s'agissait bien d'un divorce et non d'une séparation. "[Nicolas Sarkozy] n'arrivait pas à envoyer [ce communiqué]. Pour l'homme, c'était très difficile... Hormis la mort, le président estime que rien n'est inéluctable. Il a toujours eu un espoir jusqu'au moment du communiqué qu'il a souhaité le plus soft possible. Elle a souhaité vraiment annoncer la rupture, avec quelque chose de plus net."
Isabelle Balkany balaie donc les accusations qui voient dans cette annonce une volonté d'éclipser le conflit social qui touche le pays. Même démenti quant à un engagement entre les ex-époux durant la campagne présidentielle : "Ce sont les deux êtres les plus sincères et loyaux que je connaisse. Et jamais ils n'auraient pu vivre ensemble, même trois minutes, si c'était un arrangement.
Malgré "l'angoisse", Cécilia est "résolue et sereine" selon les mots de son amie. Après "un temps de repos", elle devrait chercher une activité : "Elle pourrait travailler dans la communication puisqu'on lui reconnaît certains talents. Elle aime aussi beaucoup tout ce qui est artistique, les galeries d'art." Mais avant ça, il faut que "la pression médiatique retombe".

jeudi 18 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 18 octobre 2007

Ce 18 octobre 2007, Xavier Cantat est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Le frère de Bertrand Cantat vient narrer les quarante-huit premières heures de libertés de son frangin.
Article "Le frère de Bertrand Cantat sur RTL" tiré du site RTL.fr :

Marc-Olivier Fogiel a reçu jeudi Xavier Cantat, le frère de Bertrand, 48 heures après la remise en liberté du chanteur de Noir Désir. Ce dernier est revenu dans sa maison de Moustey, dans les Landes, où il doit résister à la pression médiatique après avoir passé quatre ans en prison pour les coups mortels portés à Marie Trintignant . Une liberté conditionnelle contraignante, pour son frère, qui a "peur pour lui" après les menaces de mort proférées à son encontre, mais qui assure que "la musique fait toujours partie de sa vie."
"Moi, j'ai peur pour lui"
Deux jours après Olivier Caillart, ami de Bertrand Cantat et patron de la maison de disques de "Noir désir", Marc-Olivier Fogiel a reçu jeudi (18 octobre) Xavier Cantat, le frère du chanteur. Remis en liberté conditionnelle après avoir purgé la moitié de sa peine de prison pour les coups mortels portés à Marie Trintignant, Bertrand Cantat a rejoint sa maison de Moustey, dans les Landes.
"Il va moyennement", déclare Xavier pour parler de son frère. "Il a une volonté de reconstruction personnelle, et pour son entourage aussi." Ce qui fait peur à Xavier, c'est non seulement cette "grosse pression médiatique", mais également les menaces de mort reçues : lorsque Marc-Olivier Fogiel demande si le chanteur a peur, son frère répond "moi j'ai peur, en tout cas" (...) "Des gens envoient des menaces de mort, on en a reçu à la prison, chez le juge d'application des peines, mon ex-belle-soeur reçoit des coups de téléphone extrêmement troublants (...). C'est pas rassurant tout ça". Les menaces sont prises très au sérieux, et le chanteur est protégé par des gardes du corps.
Pour l'heure, Bertrand Cantat est donc rentré chez lui. "Il a repris contact avec les gens qui de toute façon n'avaient jamais cessé de l'accompagner, et puis il a réfléchit à la manière dont il va pouvoir reprendre goût à la vie." En effet la question de son état psychologique se pose. "Il n'est pas dans un état d'esprit suicidaire, il est responsable, il ne fera pas de geste inconsidéré", tranche Xavier. "Cependant, il ne s'explique toujours pas son geste."
A ceux qui réclament "vengeance" - comme Samuel Benchetrit, l'ancien époux de Marie Trintignant, par exemple - Xavier Cantat répond que cela serait la "dénégation totale du droit, c'est le contraire de l'humanisme". Selon lui, son frère aimerait "pouvoir discuter avec les gens concernés par cette affaire, mais cela lui a été interdit. De la même manière, on lui interdit de porter le deuil. Parce que lui aussi est en deuil. Toute sa vie il portera le poid de sa culpabilité. C'est ça, la condamnation la pire."
Enfin lors de cet entretien avec un Xavier Cantat visiblement ému, Marc-Olivier Fogiel a abordé l'aspect artistique de la future vie du chanteur de Noir Désir. Est-ce que ça repart ? "Je ne sais pas si c'est l'expresison qui convient. Bertrand, depuis 25 ans, écrit de la musique. C'est ça qu'il a dans la peau. La musique fait toujours partie de sa vie. Il n'y a pas de projet Noir Désir précis. Ils vont se revoir, ils vont certainement refaire de la musique ensemble."

mercredi 17 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 17 octobre 2007

Ce mercredi 17 octobre, Hugues Aufray est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Il vient de sortir un nouvel album, "Hugh", sorti chez Mercury.


Site officiel de Hugues Aufray :
www.huguesaufray.com


Liste des titres de l’album "Hugh" :
1. Ensemble On Est Moins Seul
2. Troubadour Gitan Mariachi

3. L’âMe Noire De L’Homme Blanc
4. Le Premier Chagrin D’Enfant
5. Petit Prince, Petit FrèRe
6. La Ballade De Christian
7. Du CôTé Des Mohicans

8. Toujours Plus Loin

9. Tout Passe
10. Quelque Part Quelqu’Un T’Aime Et C’Est Moi
11. Pas Moi

12. Cru Ou Cuit, T’As Tout Faux

13. Les Enfants D’Abraham

14. Photos

15. On S’Reverra

mardi 16 octobre 2007

T'empêches tout le monde de dormir : 16 octobre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 9 octobre à 22h55 :

- Mathilde Seigner, à l'occasion de la sortie en salles le 24 octobre du film "Détrompez-vous"
-Lambert Wilson, pour son album "Loin" qui sera dans les bacs à partir du 15 octobre
- Mareva Galenter, pour son émission "Do you do you Scopitone" sur Paris Première chaque samedi à 20h10
- Gilles de Maistre, dont le documentaire "Le premier cri" sortira le 31 octobre
- Marcel Rufo, qui publie "La vie en désordre : Voyage en adolescence" aux éditions Anne Carrière
- Boris Bergmann, pour son livre "Viens là que je te tue ma belle : Journal imaginaire" aux éditions Scali
- Thierry Mariani, auteur de l'amendement sur les tests ADN

L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


On ne pouvait pas le rater : 16 octobre 2007

Ce mardi 16 octobre, Olivier Caillart est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Directeur général de la maison de disques "Barclay", c'est l'un des plus proches amis de Bertrand Cantat, qui a été libéré dans la nuit.
Article "Bertrand Cantat libre, quid de Noir Désir ?" du 16.10.2007 tiré du site LeMonde.fr :
Le groupe de rock Noir Désir peut-il renaître de ses cendres après la libération anticipée de son chanteur, mardi 16 octobre ? Condamné en mars 2004 à huit ans de prison à Vilnius (Lituanie) pour avoir mortellement frappé sa compagne, l'actrice Marie Trintignant, Bertrand Cantat, 43 ans, est sorti de la prison de Muret (Haute-Garonne) mardi 16 octobre, peu après minuit. Il sera soumis à des mesures de contrôle jusqu'au 29 juillet 2010, devra se soumettre à des soins psychothérapeutiques et "s'abstenir de toute intervention publique" relative à l'affaire - notamment "diffuser tout ouvrage ou oeuvre audiovisuelle dont il serait l'auteur ou le coauteur et qui porterait, en tout ou partie, sur l'infraction commise". Rien ne l'empêche, cependant, de reprendre l'activité qui l'avait rendu célèbre à la rubrique musique, avant celle des faits divers.

Les spéculations sur la reformation du groupe phare du rock français vont bon train depuis un article du Point affirmant que Noir Désir venait "de signer avec Barclay pour la sortie de trois nouveaux albums". Il s'agit en fait d'une prolongation de contrat pour deux disques supplémentaires, conclue le 7 septembre 2005 avec la maison de disques.
Le précédent engagement, en février 1996, portait sur trois albums dont deux ont été réalisés : 666 667 Club, paru cette même année, et Des visages des figures (2001), vendu à 1 million d'exemplaires. "L'usage veut qu'on renégocie avant la fin complète du contrat, explique Olivier Caillart, directeur général de Barclay. J'ai souhaité le faire quand Bertrand est revenu en France. C'était un acte de foi dans le groupe, ça ne les oblige en rien." Pour Bertrand Cantat, ce document vaut cependant "contrat de travail" dans le cadre de sa demande de libération conditionnelle.

"Il y a une envie de tout le monde de refaire de la musique mais il est impossible de dire si un album verra le jour, prévient M. Caillart. Bertrand n'a écrit aucune chanson pendant sa détention, il ne s'est pas remis à écrire, même s'il a été sollicité par d'autres artistes comme Alain Bashung."

"TOTALEMENT SOUDÉ"

A Muret, Cantat a pu continuer à pratiquer la guitare et répéter (des reprises d'autres d'artistes) en salle de musique avec des codétenus. "On lui a proposé de donner des concerts mais il a décliné, précise M. Caillart. Il s'est mordu les doigts d'en avoir donné un à Vilnius (le 11 août 2004), dont les photos ont été publiées dans VSD."

Les autres membres du groupe ont toujours affirmé que l'avenir de Noir Désir serait discuté collectivement, à la libération de leur leader. "Le groupe d'humains reste totalement soudé", prêt à "travailler à l'intérieur des murs", déclarait le peu disert guitariste Serge Teyssot-Gay au Monde en novembre 2004. Interrogé par l'AFP, le batteur Denis Barthe rappelle qu'"on a tous été d'accord sur le fait qu'il ne fallait pas confondre ce qui s'était passé à Vilnius et le parcours de Noir Désir. On a tous les quatre pris la décision que ND Musique (la société d'édition de Noir Désir) ne fermait pas et qu'on continuait chacun de notre côté".

Les quatre musiciens se sont retrouvés ensemble en prison "à deux ou trois reprises", selon Denis Barthe, pour finaliser un CD et un DVD live sortis en septembre 2005 et vendus à 285 000 et 140 000 exemplaires. "C'est phénoménal pour ce type de produit, ajoute M. Caillart. Cela m'a conforté dans ma foi. Les critiques étaient bonnes, sur le mode : enfin, on revient à la musique."

Il est peu probable toutefois que Noir Désir remonte sur scène. Pour Me Olivier Metzner, l'avocat de Bertrand Cantat, son client "va devoir faire face à un harcèlement d'une certaine presse qui va rendre sa vie quasiment impossible, en tout cas au début". "Ce n'est pas imaginable que Noir Désir reprenne (comme avant)", a estimé de son côté Denis Barthe.

lundi 15 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 15 octobre 2007

Ce lundi 15 octobre, Odette Nilès est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. Elle était la petite amie de Guy Môquet.
Article "Les souvenirs de la dernière petite amie de Guy Môquet" tiré du site RTL.fr :

A partir du 22 octobre, la lettre d'adieu de Guy Môquet à ses parents sera lue dans les établissements scolaires à l'initiative de Nicolas Sarkozy. Le jeune homme, alors âgé de 17 ans, a été fusillé le 22 octobre 1941 au camp de Châteaubriant. Odette Nilès, dernière petite amie de Guy Môquet, l'a côtoyé dans ce camp jusqu'au dernier jour. Elle se confie au micro de Marc-Olivier Fogiel sur RTL.
"Un garçon très dynamique"
Le 22 octobre 1941, Guy Môquet était fusillé au camp de Châteaubriant. A 17 ans, il avait passé huit mois dans ce camp dans lequel il fit la rencontre d'Odette Nilès. Elle fut sa dernière petite amie et elle a accepté de se confier au micro de Marc-Olivier Fogiel. Dans une semaine, la lettre d'adieu de Guy Môquet à ses parents sera lue dans tous les établissements scolaires à la demande de Nicolas Sarkozy.
Odette le rencontre peu après son arrivée au camp de Châteaubriant. "Les hommes et les femmes étaient séparés dans ce camp. Le groupe de jeunes se rencontrait à la barrière plusieurs fois par jour. Quand on a 17 ans, on tombe facilement amoureux. J'étais assez sensible car il était beau et moi pas trop moche ! On a eu un petit coup de foudre mais moi je ne lui ai jamais dit" raconte Odette. Guy était lui fou amoureux et n'hésita pas à demander "un patin" à la jeune fille qui ne savait pas ce que c'était. Au micro de RTL, elle se souvient d'un garçon "très dynamique" qui voulait toujours "être gagnant".
"Pour que la jeunesse prenne conscience"
Odette a revu Guy Môquet le matin même de son exécution, le jeune homme avait conscience qu'il se passait de "drôles de choses dans le camp" sans alors savoir qu'il serait tué. Plus de soixante ans après, elle se souvient du mot qu'il lui avait laissé : "Ma petite Odette, je vais mourir avec mes 26 camarades. Nous sommes courageux. Ce que je regrette, c'est de n'avoir pas vu ce que tu m'as promis. Mille caresses de ton camarade qui t'aime, Guy."
A 83 ans, Odette Nilès répond à un maximum de sollicitations pour saluer la mémoire de Guy Môquet "non pas pour ressasser toujours ces histoires mais pour que la jeunesse prenne conscience de ce qui s'est passé pour que ça ne se renouvelle plus jamais". C'est avec émotion qu'elle suit les hommages rendus à Guy Môquet. La lettre d'adieu à ses parents sera lue dès lundi prochain dans les établissements français, une initiative qui ne fait pas l'unanimité auprès des enseignants. "Il y a une demande du ministère mais je crois qu'on essaiera d'expliquer car cette lettre n'est pas très parlante. Il faudra la mettre dans son contexte car c'est une lettre privée qui n'est pas très significative pour les jeunes en terme d'engagement de la jeunesse" explique Philippe Guittet du syndicat national des personnels de direction de l'Éducation nationale.

vendredi 12 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 12 octobre 2007

Ce vendredi 12 octobre, Bixente Lizarazu et Grégory Coupet sont les invités de Marc-Olivier Fogiel. Les deux footballeurs viennent soutenir l'équipe de France de rugby, qui affrontera l'Angleterre demain soir, en demi-finale de la Coupe du Monde.
Article "La France et l'Angleterre disputent une place en finale" tiré du site Google.fr :

La France et l'Angleterre, ennemis héréditaires, se disputeront, samedi (21h00) au Stade de France, une place en finale de la Coupe du monde à l'issue d'un parcours chaotique, ponctué de sérieuses remises en question.
Toujours vivants ! Français et Anglais ont éprouvé le même sentiment à l'issue de leur quart de finale gagné le 6 octobre. Les deux renards de l'hémisphère nord ont exhumé les vieilles recettes, à base de mêlée conquérante et de détermination farouche, pour éliminer les deux grands favoris sudistes, la Nouvelle-Zélande et l'Australie.
Pourtant, les deux équipes semblaient bien mal parties dans le Mondial. Le XV de France a perdu dès le match d'ouverture, face à l'Argentine (17-12), le 7 septembre. Les Anglais ont eux sombré une semaine plus tard face à l'Afrique du Sud (36-0). Des humiliations suivies d'effets similaires; avec une réduction des ambitions de jeu et la priorité accordée aux fondamentaux (conquête, défense et jeu au pied).
Une fois la bonne formule trouvée, les deux entraîneurs, Bernard Laporte et Brian Ashton, ont d'ailleurs adopté la même attitude: en reconduisant en bloc titulaires et remplaçants du quart de finale victorieux.
Aussi, ce 90e France - Angleterre de l'histoire s'annonce comme une formidable bataille tactique. Peu de chance d'assister à un festival de passes croisées et de courses ondoyantes. La priorité ira au combat pour la maîtrise du ballon et l'occupation du camp adverse. Sur le modèle de la dernière confrontation, remportée par le XV de France (22-9) en match de préparation, le 18 août à Marseille.
Ce jour-là, les Français avaient imposé la puissance de leur pack et profité du jeu stéréotypé des Anglais pour gagner, une semaine après l'avoir emporté à Twickenham (21-15).
Mais depuis, les Anglais ont retrouvé une âme et une profonde envie de conserver la Coupe William Webb Ellis remportée en 2003, avec au passage un succès sur la France (24-7) en... demi-finales, sous la pluie de Sydney.
Le pack anglais s'est resserré autour d'Andrew Sheridan, un pilier grand format (1,93 m, 122 kg) dont la puissance herculéenne a fait plier les Australiens en mêlée fermée. Mais le XV de la Rose, dont l'unique succès au Stade de France remonte à 2000, possède également deux sérieux combattants en deuxième ligne, Ben Kay et Simon Shaw, très précieux dans le pilonnage axial. Sans oublier un jeu au pied d'occupation efficace, réglé par le centre-vétéran Mike Catt, 36 ans, et l'ouvreur Jonny Wilkinson, certes loin de son meilleur niveau mais dont la seule présence semble apporter un surcroît de confiance à ses partenaires.
Bref ! La conquête, et plus largement toutes les phases de combat, et le jeu au pied devraient constituer les clés de ce match. Dans ce cadre, les Français peuvent compter sur un pack souverain en conquête, notamment en mêlée fermée, face aux All Blacks, et sur le trio Beauxis - Traille - Heymans pour le jeu au pied.
Très concentrés sur la stratégie mise aux point pour battre les Néo-Zélandais (20-18) à Cardiff, les joueurs du XV de France semblent décidés à "sortir des rails" pour s'offrir quelques gourmandises offensives. D'autant que les Anglais ne semblent pas présenter des garanties absolues en défense au niveau de l'axe 12-13 (Catt, Tait) et qu'aucune averse n'est programmée sur le Stade de France samedi soir.
Mais au-delà de l'aspect tactique, ce France - Angleterre se jouera aussi sur les ressources physiques et mentales des deux équipes, contraintes de puiser dans les réserves depuis le début du Mondial.
Les Français, sérieusement cabossés par les All Blacks, ont ainsi sérieusement allégé leur programme tout au long de la semaine, annulant les entraînements, multipliant rendez-vous informels et réunions dans leur hôtel aseptisé, planté entre le périphérique parisien et un héliport. Pour éviter de revivre l'automne 1999, où la victoire-exploit face aux Néo-Zélandais fut suivie d'une défaite une semaine plus tard face à l'Australie en finale. Pour retrouver l'esprit de Cardiff, né de conciliabules de couloir et qui permit d'entr'ouvrir les portes du paradis.

jeudi 11 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 11 octobre 2007

Ce jeudi 11 octobre, Alain Vuarnet est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Il vient de publier le livre "Ma rage de vivre : Un destin dans la tourmente de l'Ordre du Temple solaire" aux éditions du Rocher.

Présentation de l'éditeur :

Voilà un livre qui n'est pas un exercice classique de confession d'un homme qui se sent vieillir. Mais une biographie romanesque d'un homme jeune qui livre sans pudeur et sans haine mais avec délicatesse sa victoire sur le destin. Derrière les célèbres lunettes Vuarnet, se dissimule un homme heureux : Alain Vuarnet, le fils aîné du grand champion olympique de ski alpin en 1960, Jean Vuarnet. Pourquoi nous livre-t-il ces mémoires à quarante-cinq ans ? Parce qu'après avoir perdu sa mère Edith et son frère cadet Patrick dans le terrible massacre de la secte de l'Ordre du Temple Solaire en décembre 1995, Alain Vuarnet avait besoin de revivre. Certes plus de dix ans de combat judiciaire et médiatique n'ont pas fini d'élucider cette trouble affaire d'Etat, mais Alain Vuarnet veut aussi nous raconter une belle histoire comme son enfance merveilleuse au grand air entre Morzine, Avoriaz, Avignon, Agua Amarga, Almeria et plus tard... Saint-Tropez, ou l'aventure professionnelle vécue auprès de son père. La complicité avec ses frères. La rencontre de l'amour avec Véronique son épouse, dès le premier regard sous le soleil de Nîmes. Puis les amitiés qui grandissent au fil de fabuleuses croisières. Ou autour d'une commune passion pour la tauromachie, les courses automobiles ou le football... Bref, ce sont les mémoires d'un fonceur, qui nous communique une véritable rage de vivre. Un goût inconditionnel pour le bonheur... précieux en cas de malheur. Un mélange subtil et audacieux à la découverte d'un homme authentique et attachant que la vie a cabossé. A partager sans retenue !

mercredi 10 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 10 octobre 2007

Ce mercredi 10 octobre, Daniel Pennac est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Cette semaine, il publie "Chagrin d'école" aux éditions Gallimard.



Présentation de l'éditeur :

Chagrin d'école, dans la lignée de Comme un roman, aborde la question de l'école du point de vue de l'élève, et en l'occurrence du mauvais élève. Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d'angoisse et de douleur. Le livre mêle les souvenirs autobiographiques et les réflexions sur la pédagogie, sur les dysfonctionnements de l'institution scolaire, sur le rôle des parents et de la famille, sur le jeunisme dévastateur, sur le rôle de la télévision et des modes de communication modernes, sur la soif de savoir et d'apprendre qui, contrairement aux idées reçues, anime les jeunes d'aujourd'hui comme ceux d'hier. Avec sa verve coutumière, l'auteur de la saga des Malaussène nourrit son propos d'exemples cocasses ou touchants, de formules ciselées, et replace la notion d'amour, si farouchement controversée, au coeur de la relation pédagogique.

mardi 9 octobre 2007

Armelle prépare un nouveau programme

Desormais chroniqueuse de "T'empêches tout le monde dormir", le talk-show de Marc-Olivier Fogiel sur M6, Armelle prépare un nouveau programme intitulé "Vison friqué" selon Closer. Il s'agirait "d'une pastille humorisque de 2 minutes" où elle incarnerait "une sorte de conseillère sur l'univers du luxe dans l'esprit d'une SAV d'Omar et Fred." L'hebdomadaire ne précise pas si une chaîne a commandé ce programme.

source :www.imedias.biz 08/10/07

T'empêches tout le monde de dormir : 9 octobre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 9 octobre à 22h55 :

- José Garcia, qui est à l'affiche de "Sa majesté Minor", film qui sort cette semaine en salles
- Karl Lagerfeld
- Helena Noguerra, dont l'album "Fraise Vanille" vient de sortir
- Brigitte Lahaie et Père Patrice Gourrier
- Jessyca Falour
- La gagnante du concours Elite
- Katoucha pour son livre témoignage "Dans ma chair"

L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


On ne pouvait pas le rater : 9 octobre 2007

Ce mardi 9 octobre 2007, Béatrice Schonberg est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. Elle vient pour parler de sa nouvelle émission, "Les 100 qui font bouger la France", dont le premier numéro (consacré à l'école) est programmé pour ce soir, à 20h50, sur France 2.
Article "France 2 me donne carte blanche" tiré du site RTL.fr :
A bsente de l'antenne de France 2 depuis février dernier en raison de la présence de son mari au gouvernement, Béatrice Schonberg est de retour mardi à 20h50 avec un nouveau magazine de société : "Les 100 qui font bouger la France". Invitée de RTL chez Marc-Olivier Fogiel, la journaliste dévoile les contours de cette nouvelle émission et accepte de revenir sur sa suspension du JT.
"Je suis ravie que Christine Ockrent poursuive son émission"
Le grand retour. Depuis février, Béatrice Schonberg avait quitté l'antenne de France 2 avant le début de la campagne présidentielle. Son mariage avec Jean-Louis Borloo, ministre du gouvernement, avait poussé la chaîne publique à mettre à pied sa présentatrice vedette. Même six mois après, Béatrice Schonberg se garde bien de commenter ouvertement une telle décision, tout juste reconnaît-elle ironiquement sur RTL qu'elle est "ravie" que Christine Ockrent poursuive son magazine politique sur France 3, elle aussi pourtant femme de ministre.
Sur RTL, Christine Ockrent avait dénoncé une décision sexiste... Alors, et pourquoi Jean-Louis Borloo n'a-t-il pas mis sa carrière politique entre parenthèses pour permettre à son épouse de rester au 20 Heures ? "J'ai une vie professionnelle depuis 25 ans, c'est la mienne. Personne n'est venue ni m'aider, ni me chercher. Quand on a 25 ans de journalisme, on gère seule sa vie professionnelle", s'emporte la journaliste.
"Je ne suis pas née sous les projecteurs du JT"
"Arrêtons de regarder dans le rétroviseur" martèle Béatrice Schonberg pour qui France 2 ne se rachète pas en lui offrant, après sa suspension du JT, une grande émission de prime-time. "La page est tournée et personne n'est dans la culpabilité. Je ne suis pas née spontanément sous les projecteurs d'un JT ! J'ai 25 ans de journalisme dont 15 où j'ai animé pas mal d'émissions. C'est plutôt un retour aux sources dont j'avais particulièrement envie" explique la journaliste à Marc-Olivier Fogiel sur RTL.
Il est vrai que Béatrice Schonberg a de quoi se consoler : France 2 lui donne "carte blanche" - c'est son expression - pour animer mardi soir le premier numéro des "100 qui font bouger la France", un magazine de société produit par Emmanuel Chain. L'émission met en avant des Français qui se font remarquer par leurs initiatives personnelles dans un domaine ; l'école est le premier thème de l'émission. Pour ce lancement, Béatrice Schonberg aura une forte concurrence face à elle. "J'essaie d'abord de faire une belle émission" explique la journaliste qui devrait de toute façon proposer un deuxième numéro des "100 qui font bouger la France" dès le mois prochain sur France 2.

On ne pouvait pas le rater : 8 octobre 2007

Ce lundi 8 octobre, Michel Drucker est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Il vient nous raconter les coulisses de son émission "Vivement Dimanche", où était invitée Rachida Dati cette semaine.Article "Michel Drucker assume de recevoir des politiques" tiré du site RTL.fr :

D imanche après-midi, Michel Drucker consacrait un "Vivement Dimanche" à Rachida Dati. L'émission avait suscité la polémique la semaine dernière après l'annulation par Cécilia Sarkozy de sa participation à l'émission. Lundi matin sur RTL dans "On ne pouvait pas le rater" (page émission), Michel Drucker balaie la polémique et assume une nouvelle fois la présence de politiques sur son plateau... tout comme son amitié avec le président de la République.
Pas de communication politique.
Après plus de quarante ans de télé, Michel Drucker n'est pas de ceux qui vont s'engouffrer tête baissée dans la polémique. Lundi matin sur RTL, le journaliste a donc balayé toutes les rumeurs sur l'absence, très commentée, de Cécilia Sarkozy dans son "Vivement Dimanche" consacrée à Rachida Dati. "Nous avons décommandé la veille, d'un commun accord. Tout était dit dans les douze minutes d'interview du président, cela aurait fait doublon". Et quand Marc-Olivier Fogiel lui demande s'il a pu y voir un lien de cause à effet avec les rumeurs de séparation du couple présidentiel, Michel Drucker répond : "Non, pas du tout".
L'animateur de France 2 ne pense pas que son émission trouble le jeu politique même si la participation d'élus et de ministres dans son divertissement a toujours fait débat. Et pour Michel Drucker, aucun risque de basculer dans la communication politique. "C'est la même question avec tous les politiques mais ça n'a aucune incidence. J'ai fait une statistique : une grande partie de ceux qui sont venus ont été battus aux élections ! Sur le plan électoral, il ne reste rien de l'émission" analyse Michel Drucker sur RTL.
"Je ne suis pas le seul à connaître Nicolas Sarkozy".
Il n'a donc aucun problème à reconnaître que Rachida Dati est le symbole de ce que Nicolas Sarkozy veut montrer. "J'ai pris la date juste après la victoire de Nicolas Sarkozy, en mai dernier. Je voulais commencer par une personnalité méconnue, peu connue. Ça s'imposait. En tant que producteur de télévision, qui ne voudrait pas consacrer trois heures à Rachida Dati ?" explique Drucker.
Et tant pis si on pointe son amitié de vingt ans avec le président de la République. "Je ne suis pas le seul à avoir connu Nicolas Sarkozy quand il était jeune maire de Neuilly. Il était très ami avec mon frère, Jean, dont il était le voisin de palier" raconte Michel Drucker qui a des liens plus privilégiés avec Nicolas Sarkozy depuis une douzaine d'années et une invitation à la télé en 1995 quand l'homme politique est alors en pleine traversée du désert. Depuis, il leur arrive de se rencontrer et Michel Drucker ne tarit pas d'éloges sur le président. "C'est une boule d'énergie qui va crever tout le monde et sera debout le dernier. C'est un coureur de fond qui sait sprinter quand il faut" explique l'animateur qui conclut : "Il sait monter les cols et affronter le vent", qualité indispensable pour cet amateur de vélo.

dimanche 7 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 5 octobre 2007

Ce vendredi 5 octobre, Paul-Loup Sulitzer est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Hier, il a publié le roman "Puits de lumière" aux éditions du Rocher.



Présentation de l'éditeur :

Un écrivain célèbre meurt d'une hémorragie cérébrale. Il n'a pas d'héritiers. Ses amis lorgnent vers sa fortune. Son testament bizarre est lu par son domestique. Sept objets de mauvais goût sont légués à sept personnages que l'écrivain ne portait pas dans son coeur. Quelques jours après l'enterrement, d'étranges phénomènes se produisent. L'écrivain est aperçu subrepticement par ses héritiers.

jeudi 4 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 4 octobre 2007

Ce jeudi 4 octobre, Bernadette Chirac est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. Un entretien exceptionnel, puisque c'est la première interview de Bernadette Chirac depuis la fin du mandat de son mari, l'ex-Président Jacques Chirac.Article "Bernadette Chirac dit tout sur l'après-Elysée" du 04/10/07 tiré du site RTL.fr :

Jeudi matin sur RTL, Marc-Olivier Fogiel recevait en exclusivité Bernadette Chirac dans "On ne pouvait pas le rater". Près de cinq mois après le départ de son mari de l'Elysée, elle raconte comment le couple vit son départ de la tête du pouvoir. Jacques Chirac a dû "changer de rythme". De son côté, l'ex-première Dame de France multiplie les engagements humanitaires. Elle lance une nouvelle édition de "+ de Vie" pour soutenir les personnes âgées à l'hôpital.
"L'Elysée me manque"
Bernadette Chirac a lancé cette semaine la onzième édition de l'opération "+ de Vie" destinée à améliorer le quotidien des personnes âgées à l'hôpital. Un engagement qui n'est pas récent pour Bernadette Chirac : "Mon engagement humanitaire ne date pas d'aujourd'hui, ni de mon entrée ou de ma sortie à l'Elysée" a-t-elle raconté jeudi matin sur RTL. Quand son mari n'était encore qu'un élu de Corrèze, Bernadette Chirac allait déjà rendre visite aux personnes âgées en difficulté. Mais depuis mai dernier, son engagement s'est intensifié depuis qu'elle a notamment pris la tête de la fondation Claude Pompidou, "une grande surprise et une grande émotion" pour elle.
Des activités qui permettent à l'ex-première dame de France de réussir sa sortie de l'Elysée, lieu qu'elle affectionnait tant. "Naturellement, l'Elysée me manque mais je savais en mai que c'était la fin, c'était une fin programmée" reconnaît Bernadette Chirac au micro de Marc-Olivier Fogiel. Qu'en est-il de son mari à qui on attribue un coup de déprime après son départ du pouvoir ? "Je n'en parle jamais avec lui. Il s'investit dans une grande association. Il va beaucoup voyager et rencontrer des hommes d'Etat. C'est un retraité mais il peut encore se rendre très utile aux Français. Il vit différemment, il y a une rupture de rythme : il faut trouver de nouveaux repères" raconte Bernadette Chirac.
Jacques Chirac n'est pas "spécialiste des félicitations"
Et parmi les nouvelles activités de l'ancien président, il y a ses rencontres avec son successeur, Nicolas Sarkozy : "Il le rencontre très souvent. C'est souhaitable et j'en suis très heureuse" raconte celle qui a soutenu publiquement le candidat lors de sa campagne. "Il met en place les réformes sur lesquelles il s'est engagé" commente Bernadette Chirac qui ne se sent pas blessée par le terme de "rupture" : "La France a changé. Les jeunes sont là et ont d'autres attentes. Il est extrêmement dynamique et courageux". Même enthousiasme pour évoquer la "très belle" Cécilia Sarkozy dont elle est admirative, notamment au sujet du dossier de la libération des infirmières bulgares.
On ne sait pas ce que pense Jacques Chirac des positions de son épouse sur le nouveau couple présidentiel. Quant à son engagement auprès des personnes âgées, elle pense "que [son] mari approuve". "Ce n'est pas un spécialiste de la félicitation conjugale !" lance celle qui reconnaît que Jacques Chirac est toujours "légèrement fatigant" à vivre !

mercredi 3 octobre 2007

Omar Harfouch abandonne ses poursuites contre Fogiel


En mars dernier, Omar Harfouch avait indiqué qu'il comptait déposer plaine contre Marc-Olivier Fogiel suite au passage du jet-setteur dans "T'empêches tout le monde de dormir" sur M6. En cause, l'animateur producteur avait évoqué (en direct) une note d'Interpol, un document qui s'était avéré être un faux, et qui avait déjà fait l'objet de condamnation judiciaire de l' Express et de VSD. Mais entre temps, Omar Harfouch a décidé d'abandonner ses poursuites. Marc-Olivier Fogiel n'est pas journaliste : il anime une émission de divertissement . Ayant été destabilisé par mon argumentation très offensive, c'est en dernier recours qu'il a fait état de ce document dont il savait pertinement que c'était un faux. C'est une maladresse sans nulle doute liée à la pression du direct" explique Omar Harfouch à l'Associated Press. "J'ai beaucoup d'estime pour lui"a-t-il précisé.

On ne pouvait pas le rater : 3 octobre 2007

Ce mercredi 3 octobre, Fabrice Luchini est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. A partir du 31 octobre, il sera sur la scène de la Gaité Montparnasse, avec le spectacle "Le point sur Robert".
Pitch du spectacle :

«Le Point sur Robert », de Fabrice Luchini, est un exercice où le comédien nous livre ses avis et ses sentiments à travers les lectures d'auteurs qu'il apprécie : Paul Valery, Roland Barthes, Chrétien de Troyes, Molière... il évoquera ses propres textes également.

mardi 2 octobre 2007

T'empêches tout le monde de dormir : 2 octobre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 2 octobre à 22h55 :

- Muriel Robin et Line Renaud, à l'affiche de la pièce de théâtre « Fugueuses » au Théâtre des Variétés à Paris jusqu'au 5 janvier 2008
- Patrick Timsit, qui va bientôt monter sur scène avec son "One Man Stand-up Show"
- Eve Angeli, pour la sortie de la Bande Dessinée "La revanche des blondes"
- Faf Larage, dont le single "C'est pas ma faute" vient de sortie
- Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques
- Bambi, transexuel

L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


On ne pouvait pas le rater : 2 octobre 2007

Ce mardi 2 octobre, Guy Carlier est l'invité de Marc-Olivier. Il rejoint l'équipe de Nicolas Poincaré dans l'émission "On refait le monde" sur RTL, du lundi au vendredi de 19h à 20h.
Site internet de l'émission :
www.rtl.fr

Présentation de l'émission :

C'est à un fidèle de l'émission que RTL a fait appel pour diriger "On refait le monde". Nicolas Poincaré refait le monde sur RTL avec ses polémistes qui s'affrontent et confrontent leurs idées face aux évènements qui régissent le monde. Une grande liberté dans les propos et dans le ton, un zeste d'impertinence et beaucoup de pertinence : c'est la recette de ce magazine qui a su fidéliser ses auditeurs.

lundi 1 octobre 2007

On ne pouvait pas le rater : 1er octobre 2007

Ce lundi 1er octobre 2007, Valérie Damidot est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. L'animatrice de "D&Co" vient parler de la version prime-time de son émission, qui sera diffusée ce soir sur M6, à 20h55.
Article "Valérie Damidot refait la maison de Blandine et Laurent" tiré du site LaBandeARuquier.com :

A chaque diffusion, cette émission remporte un franc succès. Dans sa version hebdomadaire, "D&Co" a même détrôné TF1 et son magazine "Sept à Huit", du moins sur la cible publicitaire la plus prisée, la "ménagère de moins de 50 ans". Ce soir, Valérie Damidot revient en prime time et remet à neuf la maison de Blandine et Laurent.
Métamorphoser en 7 jours la maison d’une famille : c’est le challenge auquel Valérie Damidot et son équipe s’attaquent dans "D&Co : une semaine pour tout changer". 1 kilo = 100 euros, la règle est simple : la famille a 3 heures pour mettre dans une benne, dont le contenu sera donné à l’association Emmaüs, ce qu’elle ne veut plus garder. Plus on remplit la benne, plus le budget augmente.
Blandine, Laurent et leurs deux enfants Nicolas, 17 ans et Noémie 11 ans, ont fait construire leur maison il y a 5 ans. Depuis qu’ils sont installés, Laurent s’est lancé dans des travaux mais, souvent restés inachevés… Aujourd’hui Blandine et Laurent souhaitent un intérieur qui leur ressemble davantage, avec une décoration qui dégage une atmosphère conviviale et chaleureuse.
Blandine travaille d’arrache-pieds aux côtés de Valérie et de son équipe. Ensemble, ils font le maximum pour donner à chaque pièce de la maison une déco personnalisée et chaleureuse afin de répondre aux attentes de chacun : une chambre dans un style « hawaï » pour Noémie et une chambre d’étudiant avec les rangements qui lui manquaient pour Nicolas. Blandine et Laurent auront, quant à eux, une chambre également décorée selon leurs goûts, dans une ambiance « campagne ». La cuisine, le salon et la salle à manger seront aménagés dans un style « maison de famille » très chic !
Blandine qui rêvait d’un espace pour prendre confortablement son petit-déjeuner au soleil pourra profiter des extérieurs de sa maison qui seront entièrement aménagés avec une terrasse en pierre à l’avant, une pergola et une terrasse en bois à l’arrière ainsi qu’un bassin paysager…
Pendant l’avancement des travaux Laurent et les enfants seront tenus à l’écart. Au bout d’une semaine de course contre la montre pour mener à bien ce nouveau défi, Valérie Damidot permettra à toute la famille de vivre enfin dans la maison de ses rêves.