lundi 26 novembre 2007

Fabrice Eboué et le Jamel Comédy Club à Montreux au Festival du rire




Le Jamel Comédy Club et biensûr Fabrice Eboué seront au Festival du Rire de Montreux


le 5 décembre 2007




«Jamel, c'est un grand frère»



La joyeuse bande du Jamel Comedy Club débarque en décembre sur la scène du Festival du rire de Montreux. Ils seront accompagnés par leur mentor. Ils nous en parlent. Interviews


Karine Vouillamoz - 24/11/2007 Le Matin Dimanche


Ils s'appellent Thomas, Amelle, Dedo, Patson ou Fabrice... Ils font partie de la bande la plus drôle du moment: le Jamel Comedy Club. Leur point commun? Tous sont adeptes du stand up. Pour chacun, le schéma est le même: une scène vide, un micro, de la tchatche et surtout, un public auquel ils s'adressent directement.
Si cette troupe cartonne actuellement, c'est grâce à Jamel. L'humoriste préféré des Français a mis sa réussite et son image au service de leurs jeunes talents. En véritable maître de cérémonie, il les présente un à un, les soutient ou les tance. «Jamel, c'est un grand frère, un mentor», souligne Thomas N'Gijol, le nonchalant de l'équipe, dont l'humour raffiné se déguste également hors scène, sur le plateau du «Grand Journal» sur Canal Plus.
La plupart des membres de la troupe avaient déjà des années de métier, dans l'humour, la comédie ou le théâtre. D'autres s'y sont mis sur le tard. Grâce à Jamel, le talent de ces lanceurs de scuds verbaux est mis en lumière.
Vus à la télé!D'ailleurs, la télévision n'a pas hésité à leur faire les yeux doux, à l'instar de Fabrice Eboué, vanneur aux côtés de Marc-Olivier Fogiel dans «On ne peut pas plaire à tout le monde». Fabrice Eboué précise d'ailleurs les qualités de Jamel: «Il est d'abord mon producteur mais, surtout, il met sa notoriété en jeu pour le Comedy Club. J'ai découvert ses spectacles en faisant ses premières parties. C'est un vrai exemple de réussite dans le one-man-show.»
Dedo, lui, est le «hardeux» de la troupe. C'est vrai qu'il peut détonner avec sa longue chevelure et ses habits noirs, mais il en a fait sa force. «Jamel a une énergie folle. Il tend la main à de nouveaux talents. Grâce à ce vecteur de visibilité, on essaie de faire notre trou. Et surtout, on peut prouver aux gens qu'on a vraiment envie de faire du spectacle et qu'on n'est pas là par hasard.»
«Un ami de la famille»Parmi les trois filles présentes, il y a Amelle Chahbi, observatrice aiguisée de son époque. «Je suis la seule de la troupe à connaître Jamel depuis longtemps», nous explique-t-elle. «C'est un ami de la famille. Il savait que je voulais être comédienne, il m'a surveillé d'un oeil pendant longtemps, m'a donné beaucoup de conseils en amont. Il m'a testée sur l'une de ses premières parties et à la fin de la représentation, il m'a fait une révérence en me souhaitant la bienvenue dans le Comedy Club.»
Bien sûr, il y a les autres, Patson, Blanche, Noom, Yacine, Wahid, Claudia ou Frédéric. Ils ont tous le même souci: sortir la vanne qui déclenchera le plus de rires. Avec Jamel comme mentor, le pari semble moins risqué. Pour vérifier leur drôlerie, il n'y a qu'une seule possibilité: courir applaudir le Jamel Comedy Club!



Fabrice Eboué

Qui êtes-vous?Je suis un jeune homme de 30 ans qui a commencé la scène il y a neuf ans. J'ai fait le parcours classique puis j'ai été repéré par le bras droit de Jamel il y a deux ans.
Pourquoi Jamel vous a-t-il choisi?Jamel a cherché d'abord des gens qui faisaient du stand up et mon style se rapprochait de la chose.
Il recherchait un groupe assez hétérogène, complet, humainement comme artistiquement.
Comment avez-vous atterri dans l'émission de Marc-Olivier Fogiel?Quand on fait du one-man-show, on est obligé de faire de la télévision. Pour moi ce n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de me faire connaître. J'ai proposé mes services à Fogiel. Au début, j'y suis allé à tâtons. Cette année, je suis plutôt content.
Quelle est votre «fin en soi»?Ce qui est dommage dans notre métier, c'est que, médiatiquement, on n'existe qu'à travers la télé. Elle est trop puissante pour que ce soit autrement. Le paradoxe, c'est qu'il y a des gens de télé qui se prétendent comiques et qui viennent à la scène. Plein de comiques n'ont pas la chance d'avoir le réseau pour être à la télé alors qu'ils sont beaucoup plus talentueux. J'ai fait le chemin inverse. J'espère que la télé va être un accélérateur pour remplir mes salles. Dès que j'ai une médiatisation suffisante, j'arrêterai la télé totalement.

Amelle Chahbi

Qui êtes-vous?Je suis une femme de 27 ans, humoriste, comédienne, qui raconte des choses de femmes sur scène. Toutes les femmes s'y retrouvent et les hommes aussi. Depuis que je suis petite, j'ai envie de monter sur scène et j'ai réalisé mon rêve.
Pourquoi y a-t-il si peu de femmes dans la bande?Ce n'est pas faute de vouloir des filles. Il n'y en a pas, sinon, il y en aurait plus. Mais elles sont plus frileuses. Et je ne sais pas qui a lancé la rumeur, il y a très longtemps, comme quoi une femme, ce n'est pas marrant. C'est resté dans la tête des hommes. Mon plus grand plaisir, c'est quand il y a un groupe de mecs qui est installé en salle.
Je vois dans leurs yeux dès que j'arrive sur scène qu'ils ont un a priori. Ils doivent se dire qu'il y a cinq minutes de pause. Dès que j'arrive à les attraper et qu'ils sont morts de rire, je suis contente.
Et s'il n'y avait pas eu le «Jamel Comedy Club»?Je serais encore à courir les castings. Je ferais en sorte de faire mon métier de comédienne. Avant le «Jamel», on me proposait des douzièmes rôles et aujourd'hui, des premiers et seconds rôles. Grâce au «Jamel», on nous a vus. C'est énorme, ça.

Dedo

Qui êtes-vous?Je suis le représentant de la masse capillaire de la troupe. Je suis dans un univers un peu acide par rapport à certains autres de cette troupe.
Pourquoi Jamel vous a-t-il choisi plutôt qu'un autre?Parce que je suis très talentueux! Non, pas du tout, c'est parce qu'il nous a vus sur une scène ouverte. Il a décelé du potentiel en chacun de nous.
Sans le «Jamel Comedy Club», que feriez-vous aujourd'hui?Je pense que je continuerais à faire le tour des scènes ouvertes à Paris, à me bagarrer pour être comédien. J'ai joué dans des salles à Paris devant 3 ou 4 personnes dont la plupart étaient endormies ou sous l'emprise d'alcool fort...
Quel a été votre pire bide?J'ai fait la première partie de Jamel en mars de l'an dernier. Les techniciens m'avaient dit que tout allait bien se passer. Au moment où j'ai posé le pied sur scène, je me suis fait insulter par 800 personnes pendant dix minutes. Le public avait longuement attendu Jamel et, quand ils ont vu débarquer une sorte de métalleux, ils ont clairement dit non... avec des mots plus fleuris que les miens. Je me suis fait démonter, descendre. J'ai fait mon passage dans un brouhaha total sans entendre ce que je disais dans les retours tellement ça gueulait. Mais je n'ai pas baissé le regard. Vous devriez essayer! Se faire insulter par 800 personnes, c'est une expérience!

Thomas N'Gijol

Qui êtes-vous?Euh... grand, drôle et cynique peut-être.
Pourquoi Jamel vous a-t-il choisi, vous?Il n'a pas choisi que moi. Il faut que toutes les parties soient d'accord pour avancer ensemble. Au moment du projet, j'étais sur le terrain, je faisais du théâtre depuis longtemps. Il avait entendu parler de moi à gauche à droite et puis voilà, ça s'est fait naturellement.
Quel est votre dernier bide?En fin de semaine dernière, je ne me suis pas trouvé bon. Le public a dû déceler que je n'étais pas au mieux de ma forme. Mais des gros bides, je n'en ai pas eu récemment, alors tant mieux.
Qu'est-ce qui vous fait rire?Il y a beaucoup de souffrances qui me font rire. Moi, je ris de mes souffrances. Les plus gros rires viennent de là. Si on arrive à tourner quelque chose de grave et lui donner un aspect comique, c'est plus gratifiant.
Sans Jamel, où seriez-vous aujourd'hui?Je ferais encore du théâtre, je me serais démerdé autrement. J'aurais été instit. J'ai travaillé cinq ans dans une école comme aide-éducateur. J'avais le choix entre les deux. J'ai choisi la comédie. Aujourd'hui, merci, je ne le regrette pas.

À VOIR :



Jamel et le Jamel Comedy Club seront au Casino de Montreux le 5 décembre dès 20h30.



http://www.festivaldurire.ch/

source : www.lematin.ch

dimanche 11 novembre 2007

T'empêches tout le monde de dormir : 13 novembre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 13 novembre à 22h55 :

- Benoît Poelvoorde, à l'occasion de la sortie en salle le 21 novembre prochain du film « Les deux mondes »
- Maud Fontenoy, à l'occasion de la sortie de son livre « Maud Fontenoy, mon carnet de bord »
- Rolland Courbis, pour son livre « Pourquoi mentir ? »
- Victoria Abril, à l'occasion de la sortie de son album « O lala »
- Pauline, pour son nouvel album « Allo le monde »
- Fabrice Bénichou
- Arlette Laguiller


L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


On ne pouvait pas le rater : 9 novembre 2007

Ce vendredi 9 novembre, Gérard Lenorman est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Le 2 novembre dernier, il a publié son autobiographie, "Je suis né à vingt ans", aux éditions Calmann-Lévy.


Présentation de l'éditeur :

Les secrets de famille – on le sait – sont des fardeaux dont on ne guérit jamais. Né en 1945 dans un village de Normandie, Gérard Lenorman est un « fils de boche », comme on disait après-guerre. Il l’ignore. Comment le saurait-il puisque sa mère lui ment ? Pire, elle méprise cet enfant de la honte qui lui rappelle à chaque minute la « faute » commise. « J’étais programmé pour ne pas exister », confie-t-il. D’instinct, il se fait discret, rase les murs car il sent qu’il est de trop. Seule la musique – toutes les musiques – diffusée à la radio comble un désert affectif qui a bien failli avoir sa peau. L’année de ses dix ans, son cœur se met à battre et son imagination fertile s’envole : sa mère se marie et il va enfin goûter aux joies de la famille… « Elle m’interdira d’appeler ce brave homme papa. » Avant de devenir le chanteur populaire que l’on sait, l’adolescent rejoint des petits orchestres, puis des plus grands. Le succès, phénoménal, viendra mais pas le bonheur. La Ballade des gens heureux, Gérard Lenorman l’a écrite pour les autres. Aujourd’hui encore, il regrette que sa mère n’ait pas su, pas voulu lui transmettre le mode d’emploi de la vie. « Je ne sais pas recevoir ; je ne sais pas dire merci ; je ne sais pas envoyer le petit mot ou faire le petit signe qui réchauffe le cœur. » Il se définit comme un handicapé des sentiments, toujours hanté par le mensonge et la trahison qui lui ont pourri l’existence…

mercredi 7 novembre 2007

On ne pouvait pas le rater : 8 novembre 2007

Ce jeudi 8 novembre, Maud Fontenoy est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. Le 31 octobre dernier, elle a publié le livre "150 jours à contre-courant" aux éditions du Chêne.


Article "Maud Fontenoy, héroïne nouvelle vague" du 6 novembre 2007 tiré du site LeFigaro.fr :

Sept mois après son exploit - un tour du monde à la voile d'est en ouest -, Maud Fontenoy a le vent en poupe. Pleine d'énergie, elle attire dans son sillage de prestigieux supporteurs.
Elle a beaucoup ramé pour en arriver là : l'Atlantique en 2003 et le Pacifique en 2005. Elle voulait être au plus près de l'océan. Sa seconde mère. La première, c'est « maman Chantal ». Maud a le sens de la famille. Ensuite, elle a mis les voiles : le tour du monde à contre-courant, d'est en ouest. Arrivée triomphale, le 14 mars 2007, à Saint-Denis de la Réunion, après 153 jours et un démâtage spectaculaire au coeur de l'océan Indien. Bousculade des photographes. Le corps halé et les cheveux soyeux, Maud pose en maillot sur la plage. Sur les voiles et la coque de son bateau, s'inscrit le nom de son sponsor : L'Oréal. Ce jour-là, la marque de cosmétiques peut se dire que la navigatrice le vaut bien. Les vieux loups de mer grondent, c'est dans leur caractère. Dans Le Journal du dimanche, Jean-Luc Van den Heede - VDH pour les spécialistes -, détenteur du record de la spécialité sur ce même monocoque, cédé à la navigatrice, douche les enthousiasmes : « Sportivement, c'est nul ! », titre l'hebdomadaire. Polémique, tempête dans un verre d'eau salée. Sept mois plus tard, le marin revient sur l'affaire à pas de loup : « Elle n'a pas vraiment fait le tour du monde, mais de l'Antarctique, nuance-t-il, et dans les milieux de la voile, chacun sait que son temps n'est pas extraordinaire. Mais elle ne s'inscrivait absolument pas dans une logique de performance. Elle a eu la volonté farouche d'y arriver. Et ça, c'est tout à son honneur. »
Le vent est retombé. L'indomptable fille de Meaux - patrie de Bossuet et de Jean-François Copé - force le respect. Total respect, comme disent les élèves de l'école Guynemer, dans la ZEP de Meaux. Ses plus fidèles supporteurs. Emmenés par leur institutrice, l'intrépide Mme Busson, qui, en guise de tour du monde, a fait celui des banlieues, ils ont suivi depuis 2004 les aventures de cette grande soeur avec bien plus de passion que leurs cours : « Pour ces enfants qui manquent de confiance, elle est exemplaire. Elle ne fait pas que réaliser ses rêves, elle les transmet. Son message : ne jamais baisser les bras. » « Ça fait pitié », a dit Zinédine quand elle a démâté. Mais elle est repartie. Comme le déclament Victor Hugo, Mme Busson et Maud Fontenoy : « L'épuisement des forces n'épuise jamais la volonté. » Fontenoy est un ange, elle donne des ailes à ceux qui la suivent. Vice-président de L'Oréal, Patrick Rabain la décrit avec une flamme qu'aucun vent n'éteindra : « Ce qui m'a beaucoup impressionné, au-delà de l'exploit sportif, c'est son implication sur un grand nombre de sujets, notamment l'environnement. Elle pense que ça vaut la peine de se battre pour préserver la beauté de la nature et l'exprime avec une force incroyable. »
Message reçu. Maud Fontenoy est l'ambassadrice idéale d'une marque qui cherche à conquérir un nouveau territoire, celui de l'engagement. Rien ne lui résiste, enfin, jamais très longtemps. VDH : « C'est une personne qui atteint l'objectif qu'elle s'est fixé » ; Jocelyne Busson : « Elle explique que pour venir à bout d'un problème, il faut le découper en tranches » ; Patrick Rabain : « C'est une conquérante. »
12 juillet 2007, Maud Fontenoy est élevée par Nicolas Sarkozy au rang de chevalier de l'ordre national du Mérite. Dans l'assistance, du beau linge : le parrain de son voilier, Patrick Poivre d'Arvor, sa marraine, Annette Roux, PDG de Bénéteau, François Pinault, l'amiral Oudot de Dainville, l'état-major de L'Oréal... Absent de France, Nicolas Hulot s'est excusé.
Comment la jeune femme parvient-elle à aimanter une telle flotte ? « Il y a en elle une sorte de magnétisme », confie Patrick Rabain. « Elle a un rapport à l'autre assez extraordinaire, souligne son éditeur chez Arthaud, Sophie Lajeunesse, on dirait une amie qui débarque. » « Tous ces gens, commente l'intéressée, se sont beaucoup battus, chacun dans son domaine, pour y arriver. Peut-être se retrouvent-ils un peu en moi. »
Pourtant, à l'entendre, les honneurs et les compliments ne risquent pas de la faire dériver. Sa médaille ? « Franchement, ça ne m'a rien fait. T'es pas obligé de me croire. » Maud tutoie tout le monde, d'emblée, à l'instinct : l'océan, le chef de l'État, le danger. C'est sa manière d'aller à l'essentiel. Elle a 30 ans, une intense soif de vivre, une poignée de main douce et ferme. Elle se comporte avec les êtres comme elle navigue : au près. Sa meilleure amie, Aude-Justine, dit qu'elle garde « toujours les pieds sur terre ».
Depuis le début de l'automne, on la croise souvent dans les sphères politiques. Dangereux icebergs pour une idéaliste ; plus d'un y a fait naufrage. Un soir de match de rugby, elle a dîné à la table de Nicolas Sarkozy, en compagnie de Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, David Douillet, Didier Barbelivien... Ça fait beaucoup de monde pour une habituée des traversées en solitaire. Elle a faseyé, observant ce milieu qu'elle connaît mal. Le chef de l'État l'apprécie, ils partagent des valeurs communes : le goût de l'effort, du dépassement de soi, la volonté d'aller jusqu'au bout des choses. A-t-elle été tentée par le secrétariat d'État à la Jeunesse ? Elle esquive, plissant les yeux, comme s'il y avait du soleil. Joli sourire : « C'est une rumeur. » Virement de bord : « Ce qui me choque, quand on aborde la politique, c'est qu'on parle tout de suite de requins. D'un seul coup, le discours est dénaturé. On a l'impression qu'on ne devient plus sincère.»
Maud aime le mouvement, les enfants, la terre, les gens qui croient en ce qu'ils disent. C'est une héroïne moderne. Elle ira loin. Elle a déjà franchi le cap Horn. Il y en aura d'autres.
On a rarement vu une jeune femme voguant à contre-courant être autant dans le vent.

Etienne Daho sort son "Invitation" et se retrouve chez Marc-O.



Etienne Daho, est aussi un des amis de Marc-Olivier Fogiel nous avions oublié de le signaler ! Et oui, l'artiste réservé et peu bavard en interview comme nous avons pu le constater hier soir, sur le plateau de "T'empêches tout le monde de dormir" vient de sortir un nouvel album après quatre ans d'absence.

L'artiste pop phare des années 80, qui se fait attendre et que l'on voit peu à la télévision, ne manque jamais de venir présenter ses nouveaux disques chez Fogiel ! Normal, me direz-vous, ils sont potes !

Je vous laisse lire ci-dessous, un bel article de l'AFP sur le nouvel album et l'actu d' Etienne ! Tenez-vous bien !



Quatre ans après "Réévolution", Etienne Daho sort lundi son neuvième album studio, "L'Invitation" (Capitol/EMI), qui confirme le talent de son auteur et sa place éminente dans le paysage pop hexagonal.
Ce disque a été enregistré entre Paris, Londres, Barcelone et Ibiza en Espagne. Il a été produit par Daho et Edith Fambuena, l'ancienne moitié du groupe Les Valentins, déjà présente sur "Paris Ailleurs" en 1991.

"L'Invitation" contient onze morceaux. Tous les textes sont signés par Daho, à l'exception de "Toi, jamais toujours", écrit par Brigitte Fontaine. Les chansons ont été composées avec Nicolas Dubosc, Xavier Geronimi, Jérôme Soligny, Edith Fambuena et son ancien complice des Valentins Jean-Louis Pierot.
"Le point de départ de cet album est le tumulte et les ruptures brutales, douloureuses, mais nécessaires. Ensuite vient l'apaisement. C'est comme un cycle inexorable qui nourrit tous mes disques, mais cette fois-ci de manière plus intense", a expliqué le chanteur âgé de 51 ans dans une interview au site internet MyDaho.

La tonalité des textes est introspective et Daho y dévoile une part de son intimité, mais sans impudeur et avec l'élégance qui le caractérise.
Ainsi, dans l'émouvant "Boulevard des Capucines", il écrit du point de vue de son père qui, militaire, avait abandonné sa famille pendant la guerre d'Algérie. Et "Cap Falcon", empreinte de spiritualité, porte le nom d'un endroit qui était cher à son coeur durant son enfance à Oran.
Musicalement, "L'Invitation" est un disque lumineux et extrêmement bien produit, qui, par moments, peut évoquer l'album du Velvet Underground et Nico, influence commune de Daho et Edith Fambuena.
La pop s'y enrichit de couleurs musicales multiples, comme le flamenco sur la chanson-titre ou la soul, avec les cordes d'"Obsession" et de "L'adorer".
Les arrangements ont été confiés à l'Anglais David Whitaker, qui, par le passé, a travaillé avec les Rolling Stones, Serge Gainsbourg, Marianne Faithfull, Lee Hazlewood ou Nico.
L'édition de luxe de "L'Invitation" est agrémentée d'un maxi de cinq reprises de Fred Neil ("A little bit of rain"), Hank Williams ("I can't escape from you"), Pink Floyd ("Cirrus minor"), Smokey Robinson ("My girl has gone") et Billie Holiday ("Glad to be unhappy").
Issu de la scène rock et new wave rennaise de la fin des années 70, amoureux de la musique des années 60, Etienne Daho s'est établi dans les années 80 comme le chef de file de la pop hexagonale.


En novembre 2006, il avait fêté les 20 ans de son album culte "Pop Satori" (avec les tubes "Epaule Tattoo", "Tombé pour la France" ou "Duel au soleil") en l'interprétant en intégralité à L'Olympia à Paris lors du festival des Inrocks. Quelques jours après, il avait été fait officier dans l'ordre des Arts et des Lettres.
Daho entamera le 13 mars 2008 une tournée de près de 40 concerts dans des salles de taille réduite, qui s'achèvera par six Olympia du 3 au 8 juin.
Enfin, il a concocté la programmation d'une émission spéciale que diffusera France 4 le 15 décembre, où il recevra notamment Air, Bat for Lashes, Françoise Hardy, Benjamin Biolay, Elli Medeiros (dont il a co-réalisé l'album l'an passé), Jarvis Cocker ou Jane Birkin.
www.etiennedaho.com



source : www.afp.com du 5 novembre 2007

titre original :"La belle "invitation" du nouvel album de Etienne Daho"

mardi 6 novembre 2007

On ne pouvait pas le rater : 7 novembre 2007

Ce mercredi 7 novembre, Snejana Dimitrova est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. L'une des infirmières bulgares emprisonnées pendant plus de 8 ans, vient de sortir un livre, "Cauchemar", aux éditions Michel Lafon
Présentation de l'éditeur :

Partir travailler en Lybie, comme infirmière, et se voir condamnée à mort pour propagation criminelle du virus du sida à des centaines d'enfants, au début, on n'y croit pas. Mais il ne faut paslongtemps, dans les prisons lybiennes, pour s'apercevoir que la thèse du "complot" hante les dirigeants et qu'on a peu de chances de consefver la vie. Quele vie, d'ailleurs? Neuf ans de traitements indignes, de tortres, où l'espoir s'amenuise au fil des jours dans un isolement insupportable et dans une tension qui détruit peu à peu l'équilibre psychique...Snejana Dimitrova 54 ans, nous raconte ces années d'enfe, son espoir en Dieu, "qui ne pouvait pas tolérer que des innocents restent en prison", la délivrance de sa libération mais aussi les séquekles de cette sinistre aventure. Pendant sa détentio, son mari a préféré divorcer, et ses petits-enfants la voyant à la télévision derrière les barreaux, l'ont pendant longtemps tenue pour une criminelle. Le travail de reconstruction prendra du temps, mais Snejanas'y applique. elle vit actuellement chez un de ses fils dans une banlieue pauvrede Sofia, en attendant de trouver un logement. Elle a voulu écrire ce livre-témoignage, "à chaud", afin de "tourner la page". Elle l'a intégralement rédigé à Paris, qu'elle a découvert à l'automne 2007.

lundi 5 novembre 2007

Pascal Sevran n'est pas prêt de revenir à la télé ...






L'animateur de télé Pascal Sevran (l'ami de Marc-O. !!!) qui n'a pas retrouvé sa place sur France 2 à la rentrée, officiellement pour des soucis de santé, ne sera pas de retour sur la chaîne publique avant l'été, selon son directeur des programmes Eric Stemmelen, l'invité samedi midi de l'émission + Clair sur Canal +. La place du dimanche midi étant actuellement occupée par la diffusion de "France 2 Foot", dans laquelle officie un autre copain de Marc-O., le nouvellement gentil Guy Carlier.

Rappelons enfin, que Pascal Sevran a fait l'objet d'une vive polémique la saison dernière en raison de certains passages de son livre "Le Privilège des jonquilles". Le Parisien affirmait la semaine dernière que l'animateur serait de retour en janvier pour une émission récurrente d'hommages à des artistes et une émission littéraire sur France 5. Des informations démenties par l'intéressé.



source : http://www.imédias.biz/ du 3 novembre 2007

modifié par Florine

On ne pouvait pas le rater : 6 novembre 2007

Ce mardi 6 novembre, Patrick Dupond est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. Ce soir, il sera l'un des membres du jury de l'émission "Incroyable talent", diffusée sur M6 à 20h50 (juste avant l'émission "T'empêches tout le monde de dormir" de Marc-Olivier Fogiel, précisons-le).
Article "Patrick Dupond, préfère Incroyable Talent à la Star Ac' !" du 16 octobre 2007 tiré du site Actustar.com :

Plus de 4,3 millions de téléspectateurs ont suivi les 6 émissions d'Incroyable Talent l'an dernier. M6 a donc décidé reconduire le show cette année. Ça recommence le 6 novembre avec Patrick Dupond dans le Jury. Changement majeur dans l'émission, c'est Patrick Dupond, célèbre chorégraphe et danseur, qui remplace Jean-Pierre Domboy dans le jury. On l'avait perdu de vu depuis Le Ferme des Célébrités 2 et des rumeurs le disait quasiment à la rue alors qu'il a monté depuis un cours de danse avec l'argent récolté lors de l'émission. En tout cas, le célèbre danseur est très heureux de faire partie du jury comme il l'a confirmé lors d'une conférence de presse début octobre : ''Je suis content d'en faire partie, car j'aime le concept de compétition, qui est plus de l'émulation en l'occurrence. Je retrouve l'ambiance que j'ai connue à l'Opéra.'' Pour lui, Incroyable Talent c'est un peu l'anti Star Ac' comme il l'a déclaré dans Télé 7 jours. Le célèbre danseur pense également avoir été recruté pour son expérience : ''J'ai été choisi pour des raisons évidentes : j'ai une carrière internationale de danseur, j'ai dirigé l'opéra pendant 6 ans et auditionné plus de 10 000 danseurs... je n'ai volé ma place à personne,'' explique-t-il dans le magazine. Il y explique aussi qu'Endemol l'avait contacté pour la nouvelle Star Académie mais qu'il a refusé à cause de sa mauvaise expérience dans la Ferme. Pour lui, c'est surtout un retour sur le devant de la scène alors qu'il restait plutôt sur cette sortie ratée.

On ne pouvait pas le rater : 5 novembre 2007

Ce lundi 5 novembre, Maxime Garmirian et Hervé Chabalier sont les invités de Marc-Olivier Fogiel. En avant-première, l'un des journalistes libérés dans l'affaire "L'Arche de Zoé" et le patron de l'Agence CAPA répondent aux questions de Marc-Olivier Fogiel.
Article "Marc Garmirian de Capa : les responsables de l'Arche de Zoé ont menti à tout leur staff" du 5 novembre 2007 tiré du site Google.fr :

Marc Garmirian, le reporter de Capa qui vient de regagner la France avec deux autres journalistes et quatre hôtesses espagnoles, affirme que les responsables de l'Arche de Zoé au Tchad ont "menti à tout leur staff" quant à l'objectif final de leur opération.
Marc Garmirian, qui a été détenu pendant onze jours, considère que les responsables de l'Arche de Zoé "ont quand même menti à tout leur staff. Ils avaient plus de 100 personnes travaillant pour eux. Jamais ils n'ont affiché l'objectif final de leur opération, ni à leur personnel, ni aux gens qui leur ont confié les enfants, ni aux enfants eux-mêmes", a-t-il dit lundi à l'AFP.
Le reporter de Capa souligne également avoir été "frappé" par "la conviction, la détermination et l'état d'esprit" des membres de l'Arche de Zoé qui restent détenus à N'Djamena.
"Je n'arrive pas à trouver le terme pour les qualifier. Eric Breteau (le président de l'association, ndlr) est un type qui est très fort dans sa tête. Ce qui m'a frappé, c'est leur état d'esprit, leur conviction, ils sont convaincus de faire le bien et d'avoir une mission à effectuer", a-t-il ajouté.
Pour Eric Breteau, relève-t-il, "le point de départ, c'est la convention de Genève de 1951 qui justifie le sauvetage d'enfants menacés. Pour lui, ça justifie tout, ça justifie qu'on les sorte sans procédure administrative du Tchad".
Marc Garmirian explique qu'Emilie Lelouch, proche d'Eric Breteau, lui a raconté "à plusieurs reprises que des parents d'enfants, des pères, des mères, des oncles voulaient leur donner leurs enfants et lui disaient emmène-le, en France il sera mieux avec toi. Ces enfants là, elle ne les a pas pris".
Pour lui, toute la question de l'enquête est de savoir "si les enfants sont orphelins de père et de mère et s'ils sont soudanais ou pas. Il y a une enquête à mener, il faudra la faire vite".
Le journaliste admet avoir "une vision forcément partielle des choses", étant resté à la base d'Abéché. "Le lendemain de mon arrivée ils ont rapatrié tous les gamins qui restaient dans leur base secondaire d'Adré (est du Tchad). Je n'ai pas été dans les villages avec Emilie Lelouch et je n'ai surtout pas été avec les messagers, les jeunes types qu'ils ont envoyés au Soudan et dans les villages où il y avait des réfugiés soudanais au Tchad, pour expliquer leur démarche", raconte-t-il.
"C'est là qu'il y a une perte d'information entre leur propre message, ce que les messagers ont transmis aux chefs de villages et comment les chefs ont expliqué ça aux familles ou aux gens qui avaient en charge les enfants", juge le journaliste, qui estime par ailleurs "avoir bénéficié de conditions de détention largement au-delà de la norme locale".

vendredi 2 novembre 2007

T'empêches tout le monde de dormir : 6 novembre 2007

Voici la liste des invités que Marc-Olivier Fogiel recevra dans le prochain numéro de son émission « T'empêches tout le monde de dormir », qui sera diffusée mardi 6 novembre à 22h35 :

- Etienne Daho, à l'occasion de la sortie de son nouvel album « L'invitation »
- Pierre Lemarchal, pour la biographie de son fils, « Grégory Lemarchal, mon frère l'artiste », qui sortira le 8 novembre.
- Marina Foïs, à l'affiche du film "Darling" qui sort le lendemain en salles
- Elie Semoun, pour la sortie de "Elie annonce Semoun, la suite de la suite"
- Nolwenn Leroy, pour son "Histoires Naturelles Tour"
- Fabrice Lucchini, qui est au théâtre de la Gaîté Montparnasse avec "Le Point sur Robert"

Une partie de l'émission sera consacré au site internet « Facebook » qui suscite de plus en plus d'utilisateurs.

L'émission étant diffusée en direct, d'autres invités sont susceptibles de se rajouter à cette liste en fonction de l'actualité.


On ne pouvait pas le rater : 2 novembre 2007

Ce vendredi 2 novembre, Nadine Trintignant est l'invitée de Marc-Olivier Fogiel. La mère de l'actrice Marie Trintignant vient de sortir un recueil de nouvelles, "Une étrange peine", aux éditions Fayard.


Présentation de l'éditeur :

Sous le titre emprunté aux stances de Rodrigue dans Le Cid de Corneille (« Ô Dieu, l’étrange peine… »), voici rassemblées une quinzaine de nouvelles contant autant de drames intimes survenus dans toutes les couches de la société : séparations, ruptures, tromperies, désunions, mésalliances, dysharmonies, couples malades de trop ou de pas assez de passion, déchirés ou mal ressoudés, vies fourvoyées, rêves anéantis, illusions perdues, innocences bafouées, hommes cyniques ou humiliés, femmes lâchées, battues, bousillées – et revient, bien sûr, dans le dernier texte bouleversant qui donne son titre à l’ensemble, l’évocation du frêle fantôme de Marie, quatre années après sa disparition tragique à Vilnius, ce « morceau d’elle même », mort à présent, que sa mère Nadine garde vivant en elle.

jeudi 1 novembre 2007

On ne pouvait pas le rater : 1er novembre 2007

Ce jeudi 1er novembre, Fabrice Bénichou est l'invité de Marc-Olivier Fogiel. L'ancien boxeur sort son autobiographie demain, "Putain de vie", aux éditions Plon.


Présentation de l'éditeur :

Fabrice Bénichou nous livre ici le récit d’une vie hors du commun. Celle d’un boxeur qui remporta, de 1988 à 1995, trois couronnes mondiales et cinq européennes avant de se retirer.
Un père extraordinaire, parapsychologue et fakir, une famille qui court le monde, le Mexique, Saint-Domingue, Porto Rico, Israël, Las Vegas... une enfance baignée dans la violence, passée dans les rues au milieu des déshérités, et puis la gloire grâce au noble art, et la chute.
Mais si Fabrice Bénichou est un champion patenté, il est aussi un champion blessé. Kidnappé à trois ans, violé à quatre ans, il a joué à la guerre au Liban à quatorze ans, il a ensuite été artiste de music-hall et de cirque à quinze ans. Lui qui avait gagné sa place au panthéon des sportifs a vécu une véritable descente aux enfers : misère, drogue, alcool, dépression et humiliation. Il s'est trouvé souvent à terre, mais s'est relevé à chaque fois.
La vie est un combat qui se gagne chaque jour. Fabrice Bénichou nous la raconte avec une gouaille étonnante.